Cette semaine dans Jeune Afrique

Dans son édition n°2773 du 2 au 8 mars 2014, « Jeune Afrique » présente les résultats de son enquête sur le conflit qui oppose Marwan Mabrouk à l’État tunisien pour le contrôle de l’opérateur Orange Tunisie.

Investec, le holding créé par Marwan Mabrouk, détient 51% de l’opérateur Orange Tunisie. © Nicolas Fauqué/Images de Tunisie

Investec, le holding créé par Marwan Mabrouk, détient 51% de l’opérateur Orange Tunisie. © Nicolas Fauqué/Images de Tunisie

Publié le 3 mars 2014 Lecture : 2 minutes.

Depuis trois ans, un véritable bras de fer oppose Marwan Mabrouk aux autorités tunisiennes pour le contrôle de l’opérateur Orange Tunisie. Autour d’une question : l’homme d’affaires s’est-il enrichi légalement ou a-t-il bénéficié de sa proximité avec le président Ben Ali, dont il était le gendre, comme l’estime l’État qui a confisqué ses parts ? Dans son édition n°2773 du 2 au 8 mars 2014, Jeune Afrique présente son enquête sur les conditions et la légalité de cette mise à l’écart. Le magazine présente aussi un entretien exclusif avec l’homme d’affaires tunisien qui sort enfin de son silence.

En section Entreprises & marchés, Jeune Afrique s’intéresse à l’assemblée générale extraordinaire du Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam), convoquée pour le 26 mars prochain. Celle-ci a un seul point à l’ordre du jour : une réforme des statuts permettant d’allonger le mandat du conseil exécutif du Gicam de trois à cinq ans. Cette fois, André Fotso, patron du Gicam, « joue gros » : un désaveu de ses pairs, à moins d’un an de l’élection du conseil exécutif serait déstabilisateur. Le magazine revient également sur la tournée du roi Mohammed VI en Afrique subsaharienne. Les efforts du royaume chérifien pour toucher le sud du Sahara ne sont pas pour l’instant couronnés de succès : les échanges commerciaux restent faibles.

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Parmi les Indiscrets de la semaine, le magazine expose les difficultés que le groupe bancaire français Société générale éprouve à se défaire d’une de ses filiales en Afrique centrale. Des selfies aux absences injustifiées, Jeune Afrique revient également sur l’étonnant périple parisien d’Amadou Bâ, le ministre sénégalais de l’Économie et des Finances.

Dans les pages Décideurs, Jeune Afrique présente une analyse à chaud de la suspension de Lamido Sanusi de son poste de gouverneur de la Banque centrale du Nigeria, et dresse un portrait nuancé de cet adepte des déclarations tapageuses… ainsi que des mesures radicales.

En section Finance, l’hebdomadaire s’intéresse à l’impact sur les institutions de micro-crédit et sur l’accès au crédit de la baisse du plafond des taux d’intérêt décidée par l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).

Sommaire

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Télécoms – Orange Tunisie, enquête sur une spoliation
Interview
– Marwan Mabrouk : « Je fais confiance à la justice »

Entreprises & marchés
Cameroun – Tour de chauffe au Gicam
Maroc-Afrique
– Beaucoup de bruit pour rien

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Indiscrets

Décideurs
Nigeria – La polémique de trop

Finance
Afrique de l’Ouest – Un remède pire que le mal ?

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