Franc-maçonnerie : après Bakayoko, la Grande Loge de Côte d’Ivoire perd un autre pilier
Le décès du Grand maître David Mignonsin, quatre mois après celui d’Hamed Bakayoko, est un nouveau coup dur pour la GLCI. Et il provoque une nouvelle bataille fratricide.
![Hamed Bakayoko, le défunt Grand maître de la GLCI. © Bruno LEVY pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/07/15/jad20210715-civ-bakayoko-koyo.jpg)
Hamed Bakayoko, le défunt Grand maître de la GLCI. © Bruno LEVY pour JA
Moins de quatre mois après la perte du Grand maître Hamed Bakayoko, le professeur de médecine David Mignonsin, l’un des piliers de la GLCI, est décédé fin juin à Abidjan. Il avait le statut de Grand maître et présidait le Suprême Conseil maçonnique, lequel gère les rites et les hauts grades. Le défunt occupait donc l’une des fonctions décisionnaires de la loge, dont il avait gravi tous les échelons.
Rivalités internes
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