Ils ont dit

Publié le 12 mars 2003 Lecture : 1 minute.

Thabo Mbeki
Président sud-africain
À travers le continent, l’apathie, la peur et la soumission reculent. Des gens ordinaires prennent leur destin en main, quitte à se révolter, si c’est le seul langage que leurs dirigeants comprennent. Pour moi, c’est un bon signe, peut-être annonciateur de la renaissance du continent.

Claude Goasguen
Député français UMP
Le veto me paraît tout à fait inenvisageable. Il conduirait à une crise internationale que je n’ose même pas imaginer.

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Saddam Hussein
Président irakien
Dans quel ordre énumère-t-on les pays se prononçant pour une solution politique autour de l’Irak ? D’abord on cite l’Allemagne, la France, et puis seulement la Russie. Alors qu’il faudrait l’inverse ! La Russie doit retrouver sa place parmi les grandes puissances.

Victorine Wodié
Ministre déléguée ivoirienne chargée des Droits de l’homme
Même si les coupables des exactions sont proches du pouvoir, ils devront être jugés. L’impunité entraîne des dérives et des frustrations.

Abdelaziz Bouteflika
Président algérien
Je ne peux que redire notre déception devant le comportement de la communauté internationale, qui a montré très peu de compréhension, et encore moins de sympathie, pour la lutte que le peuple algérien a engagée contre le terrorisme.

Mohamed Khatami
Président iranien
Quand les gens sont déçus, ils sont tentés de se tourner vers la dictature.

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Milene Domingues
Footballeuse brésilienne et épouse de Ronaldo
Je préférerais ressembler à Zidane plutôt qu’à Ronaldo.

Paul Kagamé
Président rwandais
Je ne peux blâmer entièrement la France d’intervenir en Afrique. Elle y est parfois invitée par les Africains eux-mêmes. Les torts sont partagés.

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