Marie-Josée Ta Lou, l’ambitieuse sprinteuse ivoirienne
L’athlète ivoirienne rêve de devenir la meilleure sprinteuse africaine. Arrivée à Tokyo comme l’une des favorites des 100 et 200 mètres, Marie-Josée Ta Lou brisera-t-elle la malédiction de Rio ?
![L’athlète ivoirienne Marie-Josée Ta Lou, le 8 septembre 2018. © Petr David Josek/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/07/27/sipa_ap22244924_000019.jpg)
L’athlète ivoirienne Marie-Josée Ta Lou, le 8 septembre 2018. © Petr David Josek/AP/SIPA
Ne lui parlez plus du Brésil, de Rio de Janeiro et des Jeux Olympiques de 2016. Marie-Josée Ta Lou ne veut évoquer que le présent et l’avenir, même si elle garde dans un coin de sa mémoire le double épisode carioca. Pas très loin des plages de Copacabana, l’Ivoirienne avait échoué deux fois de suite au pied du podium, sur 100 mètres puis sur 200, passant, pour quelques millièmes de secondes, à côté d’une médaille. « Je veux oublier Rio », avait-elle déclaré en 2020, alors que l’annulation des JO de Tokyo et leur report à 2021 pour cause de crise sanitaire n’était pas encore officiel.
Favorite
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »