Photo – Liban, Corée du Nord… Quand les frontières ne s’ouvrent plus !

Avec sa série « Frontières infranchissables », Catherine Cattaruzza s’interroge sur ce qu’elle appelle « les états de guerre latente ». Ses photos, exposées à Divonne-les-Bains (Ain), trouvent un écho particulier en cette période de pandémie mondiale.

Touristes libanais sur le promontoire surplombant la « ligne bleue » au sud du Liban, à la frontière avec Israël, en 2016. © Catherine Cattaruzza

Touristes libanais sur le promontoire surplombant la « ligne bleue » au sud du Liban, à la frontière avec Israël, en 2016. © Catherine Cattaruzza

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Publié le 1 août 2021 Lecture : 3 minutes.

Quand on l’interroge sur sa série Frontières infranchissables, Catherine Cattaruzza évoque « un projet à long terme ». « J’aime bien laisser les choses ouvertes », poursuit-elle, expliquant qu’après les frontières libano-israélienne et sino-nord coréenne, elle projetait d’aller sillonner la région du Nagorny-Karabakh, entre l’Arménie et l’Aerbaïdjan. La guerre, puis le Covid, ont contrarié ses plans, au moins temporairement.

Un projet à long terme

Visibles sur son site internet catherinecattaruzza.com, ses photos font l’objet d’une exposition à Divonne-les-Bains (Ain), à la frontière franco-suisse, après avoir été placardées à Martigues (Bouches-du-Rhône), dans le sud de la France. Le Covid et ses restrictions de déplacement redonnent à ses clichés une étrange actualité, même si la photographe, née en France mais ayant grandi au Liban, dit avoir « beaucoup de mal à supporter toute comparaison entre cette pandémie et la guerre ».

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