Crise en Tunisie : au cœur des discrètes discussions entre la France et les États-Unis
Le Quai d’Orsay et le département d’État américain ont mis au point un « gentleman’s agreement confidentiel », qui comprend une série de propositions de sortie de crise.
![Kaïs Saïed, le 25 juillet 2021. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/07/30/jad20210730-conf-tunisie-kais-saied.jpg)
Kaïs Saïed, le 25 juillet 2021. © AFP
Eux aussi ont été surpris dès le 25 juillet 2021 par la décision du président tunisien Kaïs Saïed de s’arroger tous les pouvoirs, de geler l’activité de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et de démettre le chef du gouvernement Hichem Mechichi. Eux, ce sont les partenaires internationaux du pays qui ont d’abord misé sur la prudence. En coulisses, le Quai d’Orsay et le département d’État américain – qui avaient apporté leur soutien à la révolution tunisienne – ont eu de nombreuses discussions, afin d’élaborer une proposition de sortie de crise en onze points.
sansBien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »