Un Conseil sous haute surveillance
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Il a beaucoup été question de la sécurité des membres du gouvernement dans les jours qui ont précédé le Conseil des ministres qui devait se tenir le 9 août. Le dispositif habituel a en effet dû être renforcé pour tenir compte de la « météo politique ». Un officier de la force Licorne, les troupes françaises chargées, avec les éléments de l’Onuci et de l’armée régulière, d’assurer la protection des personnalités, s’en est entretenu à la primature, le 4 août. Le cas de Guillaume Soro, le chef de file de l’exrébellion, dont le retour au sein de l’équipe gouvernementale a été annoncé le 30 juillet à l’issue du sommet d’Accra, n’était pas le moins préoccupant. Dans l’hypothèse, bien sûr, où celui-ci choisirait effectivement de se rendre à Abidjan.
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