Qui s’intéresse au bilan économique des années Gbagbo ?

Les données et les outils traditionnels d’analyse du journalisme économique doivent-ils vraiment être appliqués partout, quelles que soient les circonstances ?

Devant les maquettes des grands projets de la capitale, Laurent Gbagbo, président de la République de Côte d’Ivoire, dans son palais présidentiel, le 13 décembre 2009, à Yamoussoukro, Côte d’Ivoire. © Vincent Fournier/Jeune Afrique

Devant les maquettes des grands projets de la capitale, Laurent Gbagbo, président de la République de Côte d’Ivoire, dans son palais présidentiel, le 13 décembre 2009, à Yamoussoukro, Côte d’Ivoire. © Vincent Fournier/Jeune Afrique

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Publié le 28 août 2021 Lecture : 3 minutes.

Par définition, tout journaliste économique est un schizophrène en sursis : comptable repenti et prêtre défroqué, convaincu à la fois que les chiffres mentent mais que « la vie n’est qu’une question de chiffres ». Une indisposition d’esprit permanente qui fait noter « la remarquable reprise en main » de telle entreprise par tel efficace « cost-killer », ayant réduit la masse salariale de 15 % pour un excédent brut d’exploitation « en très nette progression », puis impose des nuits blanches – enfin, une nuit blanche – à l’idée que ce « brillant » mouvement de bascule vient de catapulter 3 000 familles dans la précarité à Lagos, Abidjan et Lomé.

Quelle influence aura l’éruption du mont Nyiragongo en RDC sur le cours du cuivre ?

Bien s’informer, mieux décider

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