Formation – Mathieu Gobin (Icam) : « Nous envisageons la Côte d’Ivoire et le Kenya »

Le directeur général délégué pour la coordination des campus de l’Icam revient sur une implantation de vingt ans au Cameroun et au Congo et livre les axes de la stratégie de l’école pour les cinq prochaines années.

Campus de l’UCAC ICAL, à Douala, Cameroun © ICAM

Campus de l’UCAC ICAL, à Douala, Cameroun © ICAM

Publié le 24 août 2021 Lecture : 5 minutes.

Depuis plus de 20 ans l’Icam, en partenariat avec des entités jésuites, s’internationalise dans les pays en développement, notamment en Afrique, largement en sous-effectif d’ingénieurs par rapport au développement industriel espéré. L’institut possède un campus à Douala au Cameroun, un autre à Pointe-Noire au Congo en partenariat avec l’Ucac (Université catholique d’Afrique centrale) et, depuis 2019, à Kinshasa en RDC, en partenariat avec l’ULC (Université Loyola du Congo). L’école qui a ouvert  un bureau de représentation à N’djamena au Tchad est aussi, depuis peu, présente au Brésil et en Inde.

Accrédité depuis 2019 par la Commission des titres d’ingénieurs en France, l’enseignement de l’institut de l’Ucac-Icam se fonde sur une pédagogie humaniste avec l’ambition d’implanter prochainement de nouveaux campus en Afrique, notamment en Côte d’Ivoire et au Kenya, puis dans un horizon plus lointain potentiellement au Nigeria, au Zimbabwe et à Madagascar. L’école a déjà formé plus de 700 ingénieurs et 300 techniciens en étroit partenariat avec des entreprises locales et a largement étoffé les échanges, l’interconnexion et l’interculturalité des campus.   

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