Dix-sept Libyens sur la sellette
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Chargé d’instruire le dossier de la disparition en 1978, sur le sol libyen, du leader chiite libanais Moussa al-Sadr, le juge libanais Samir al-Haj vient de demander l’audition de dix-sept responsables libyens soupçonnés de « complicité » dans le crime. Parmi eux, Ali Abdessalam Triki, le « monsieur Afrique » du ministère libyen des Affaires étrangères, Achour al-Fertass, ancien secrétaire général du même département, et Abdessalam Jelloud, ex-numéro deux du régime de la Jamahiriya. Tripoli n’a pas tardé à réagir. Rejetant les accusations lancées contre ses dirigeants, la Libye a opposé une catégorique fin de non-recevoir à la requête de la justice libanaise.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise