Ports : Djibouti dans le sillage de Singapour et Tanger

La filiale du dubaïote Enoc spécialisée dans la logistique portuaire, Horizon Djibouti Terminals Limited, poursuit son expansion dans la Corne de l’Afrique, consolidant les ambitions djiboutiennes dans le secteur.

Houssein Ahmed Houssein, DG de Horizon Djibouti, dans son bureau. © Olivier Caslin pour JA

Houssein Ahmed Houssein, DG de Horizon Djibouti, dans son bureau. © Olivier Caslin pour JA

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Publié le 28 octobre 2021 Lecture : 2 minutes.

Si Djibouti s’enorgueillit aujourd’hui de disposer d’un chapelet d’installations portuaires le long de son littoral, le pays a dû attendre près de cent vingt ans entre la construction du vieux port installé au cœur de la capitale et celle d’un nouveau terminal dans la baie de Doraleh.

En 2005, le groupe dubaïote Emirates National Oil Company (Enoc) choisit la petite République et son littoral en eau profonde pour réaliser son premier dépôt pétrolier hors des Émirats arabes unis et pour être sa porte d’entrée sur le continent africain.

Quinze ans plus tard, la filiale d’Enoc, Horizon Djibouti Terminals Limited (HDTL), a trouvé son marché dans la sous-région, approvisionnant l’Éthiopie et stockant les réserves stratégiques de l’armée américaine. Au point de démarrer une nouvelle phase de son développement à Djibouti, malgré le conflit éthiopien en cours. Aperçu de ses nouveaux projets de développement avec son directeur général, Houssein Ahmed Houssein.

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