Cameroun : chez les Niat, la politique de père en fils
Éric Niat, le cadet du président du Sénat, vient de ravir la mairie de Bangangté. Comme son père il y a presque vingt ans. Rêve-t-il désormais d’une carrière similaire ?
![Éric Aimé Niat, fils du président du Sénat, Marcel Niat Njifenji. © DR](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/08/16/jad20210816ass_ericniat.jpg)
Éric Aimé Niat, fils du président du Sénat, Marcel Niat Njifenji. © DR
Dans les allées de l’hôtel Hilton de Yaoundé où il a ses habitudes, Éric Niat ne passe pas inaperçu. Et cela ne tient pas seulement à l’imposante allure de cet amateur de basket… C’est que la nouvelle curiosité du monde politique camerounais porte un nom bien connu.
Jusqu’à son arrivée à la mairie de Bangangté en mars dernier, personne ne s’intéressait vraiment au fils du président du Sénat, Marcel Niat Njifenji. Mais depuis qu’il est parvenu à conquérir à l’arraché cette commune de l’Ouest, l’homme intrigue. Rêve-t-il de marcher dans les pas de son père, qui a lui aussi régné sur Bangangté (entre 2002 et 2007) ?
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