Cette semaine dans Jeune Afrique

Face au déficit d’accès à l’électricité, les États africains lancent des politiques et réformes ambitieuses, associant parfois secteurs privé et public. Dans son édition n°2771 du 16 au 22 février 2014, « Jeune Afrique » dévoile les différentes recettes appliquées et les succès variables qu’elles rencontrent.

Chantier d’interconnexion, au Burkina Faso, sur la ligne reliant Ouagadougou à la Côte d’Ivoire. © Hamilton/REA

Chantier d’interconnexion, au Burkina Faso, sur la ligne reliant Ouagadougou à la Côte d’Ivoire. © Hamilton/REA

Publié le 17 février 2014 Lecture : 2 minutes.

Souffrant de nombreuses carences dans la production d’électricité, les gouvernements des pays d’Afrique subsaharienne ont lancé des politiques ambitieuses pour répondre à ce besoin. Ces dernières incluent la mise en œuvre de politiques de séparation des activités de production, de transport et de distribution de l’électricité, répartition des rôles entre le secteur public et le secteur privé, établissement d’un cadre stable visant la pérennité des investissements des acteurs privés. Dans son édition n°2771 du 16 au 22 février 2014, Jeune Afrique présente ces recettes et leurs succès variables, qui ambitionnent de répondre, enfin, aux besoins des habitants.

En section Entreprises & marchés, Jeune Afrique s’intéresse à la filière du coton béninoise qui est dans une mauvaise passe : d’un côté les huileries demandent une renégociation du prix des graines, de l’autre l’État exige le paiement de la campagne précédente. Le magazine revient également sur la volonté de l’État gabonais de relancer le projet d’exploitation du gisement de fer du Belinga, en sommeil depuis 2006. Enfin, Jeune Afrique s’interroge sur la viabilité du décollage libyen marqué par la multiplication des enseignes commerciales, mais qui souffre de l’absence de grands investissements et de réformes ambitieuses.

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Parmi les Indiscrets de la semaine, le magazine révèle le branle-bas imposé par Donald Kaberuka au sein du management de la Banque africaine de développement. L’hebdomadaire dévoile également la prise de contrôle d’un acteur majeur du système bancaire ghanéen par un pool d’investisseurs privés occidentaux et sud-africain.

Dans les pages Décideurs, Jeune Afrique présente une interview de Mark Bristow, le patron de la société sud-africaine Randgold Ressources, qui, malgré la chute du cours de l’or, est confiant. Fort de gisements prometteurs au Mali et en RD Congo, il prévoit même d’augmenter sa production de 30% en 2014.

En section Finance, le magazine s’intéresse à la situation des cabinets juridiques internationaux (anglo-saxons, français, espagnols) arrivés en masse dans les années 2000 à Casablanca pour suivre le flux des investissements internationaux. Ils sont confrontés à une réalité amère aujourd’hui : le marché n’est pas assez étendu pour satisfaire tout le monde.

Enfin, Jeune Afrique consacre un Dossier au secteur de l’eau. Entre pression démographique et urbanisation à marche forcée, l’or bleu occupe une place fondamentale dans le développement du continent africain. Le magazine s’intéresse particulièrement aux problématiques d’assainissement et de distribution de l’eau, ainsi qu’aux investissements nécessaires dans les infrastructures, pour assurer par exemple la construction de réseaux de distribution, ou d’usines de dessalement.

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Sommaire

Électricité – Et si on remettait le courant ?

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Entreprises & marchés
Bénin – Mélo Coton
Gabon – Dur comme fer
Lybie – Attention mirage !

Indiscrets

Décideurs
Mines – Mark Bristow – Dénicheur de pépites

Finance
Maroc – Les avocats déchantent

Dossier – Eau

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