Terrorisme en Côte d’Ivoire : pourquoi la surveillance a encore été renforcée dans le Nord
Le crash, dans la nuit du 10 au 11 septembre, d’un hélicoptère d’attaque MI 24 est survenu alors que l’armée ivoirienne craignait une attaque jihadiste dans le nord du pays.
![Des soldats ivoiriens lors de la fête de l’Indépendance, le 7 août 2019. © EPA-EFE/LEGNAN KOULA/MAXPPP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/09/20/jad20210920-conf-ci-armee.jpg)
Des soldats ivoiriens lors de la fête de l’Indépendance, le 7 août 2019. © EPA-EFE/LEGNAN KOULA/MAXPPP
Selon nos informations, les autorités ivoiriennes ont été prévenues début septembre par plusieurs partenaires, notamment les services de renseignements burkinabè, d’un risque important d’attaque jihadiste sur leur territoire. Des mouvements suspects avaient notamment été détectés près de la forêt de Diéfoula, dans le sud-est du Burkina. Des armes (munitions, roquettes, matériel pour fabriquer des engins explosifs) avaient aussi été acheminées sur place.
L’homme d’Amadou Koufa
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