Golf 5 : enfin !

Publié le 9 décembre 2003 Lecture : 1 minute.

Depuis la première Golf, lancée en 1974, rien n’a changé : elle sert toujours de modèle à ses concurrentes, le seul objectif de l’ensemble des constructeurs étant de ravir à Volkswagen sa première place sur le créneau des voitures moyennes.
Depuis la première Golf, tout a changé : elle se heurte aujourd’hui à une sévère concurrence qui n’a rien à lui envier en termes de qualité. Elle avait dix concurrentes en 1974 et en aurait aujourd’hui 130, avec notamment les Peugeot 307, Renault Mégane et Opel Astra, qui lui rendent la tâche plus difficile.
La Golf 5, qui partage la plate-forme de la Volkswagen Touran et de l’Audi A3, est proposée avec deux motorisations essence (1,4 l 75 ch et 1,6 l 115 ch) et deux Diesel (1,9 l 105 ch et 2,0 l 140 ch). Nous avons pu essayer la 2 litres Diesel, seule motorisation disponible pour la presse. Les autres ne seraientelles pas à la hauteur ?
Question comportement, pas de problème. Et même du mieux : grâce à une coque plus rigide et un train arrière en progrès (il ne « pompe » plus), la tenue de route est enfin satisfaisante.
Conformément à la tendance générale, la nouvelle Golf est plus volumineuse que l’ancienne (de 2,4 cm en longueur, 5,5 en largeur et 4,1 en hauteur). Ce qui profite essentiellement aux passagers arrière et au coffre (+ 20 litres). Pourtant, la voiture paraît plus petite.
Intérieurement, la bonne surprise vient du tableau de bord : modernisé, il offre des commandes plus ergonomiques. Du côté des équipements, pas de soucis : la nouvelle Golf dispose, de série ou en option, de tout ce qui se fait aujourd’hui. Dommage que la qualité des matières plastiques soit en baisse.
Notons aussi qu’à niveau d’équipement et de motorisation égal, elle est plus chère que ses concurrentes. Référence oblige ?

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