Privatisation partielle de Saïdal

Le groupe pharmaceutique algérien cède 15 % de ses actions

Publié le 10 novembre 2004 Lecture : 1 minute.

Il aura fallu de longues tractations pour aboutir à l’accord que viennent de signer le groupe Saïdal et le Fonds algéro-koweïtien de l’investissement (Faki). À l’issue des négociations, le groupe pharmaceutique cède 15 % de ses actions. L’acte signé porte sur une cession de 1,5 million d’actions pour une valeur unitaire de 805 DA l’action. Le Faki va donc verser 1,2 milliard de DA à Saïdal, une somme qui sera consacrée à la mise en uvre du plan de développement du groupe d’ici à 2010. Cette opération de privatisation partielle vient compléter l’ouverture du capital par l’introduction de l’entreprise en Bourse en 1999. L’État, qui détenait auparavant 80 % du capital, n’en possède plus que 65 %. Le Faki est également en discussion avec le Conseil des participations de l’État (CPE) en vue d’une privatisation partielle de l’hôtel El-Aurassi.

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