RDC-Congo : pourquoi le pont entre Kin et Brazza patine
Chiffré à plus de 400 millions d’euros pour sa première phase, le projet de pont entre les deux capitales congolaises n’en finit pas d’être repoussé. Les bénéfices attendus – commerciaux et portuaires notamment – sont pourtant importants, pour les deux côtés du fleuve et au-delà.
Afrique centrale : des progrès à pas comptés
Malgré une croissance fragile liée à quelques problèmes chroniques – intégration laborieuse, grandes disparités entre États membres, économies insuffisamment diversifiées – les pays de la Cemac remontent la pente, lentement mais sûrement.
Après des années de discussions, la République démocratique du Congo (RDC) et le Congo s’étaient enfin mis d’accord. Et tous, ou presque, de se réjouir à l’idée de voir se réaliser enfin un grand rêve : un pont au-dessus du fleuve Congo, entre les deux capitales les plus rapprochées du monde, doté d’une voie ferrée, d’une route à double ligne, de passages piétons et d’un poste de contrôle frontalier sur chaque rive.
Mais la pandémie de Covid-19 a joué les trouble-fête, obligeant à reporter la table ronde des partenaires techniques et financiers du projet prévue en mars 2020 à Brazzaville, pour un démarrage des travaux en 2021 et une inauguration en 2023.
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