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Sur la dizaine d’écoles de commerce que compte l’Algérie, deux proposent des diplômes de troisième cycle en management ou en gestion, en plus de la formation de niveau licence : l’Institut international de management (Insim) et l’École supérieure de commerce (ESC) d’Alger. À leurs côtés évoluent deux business school qui ne proposent que des troisièmes cycles, MDI et l’Esaa. Créée dans le cadre de la coopération franco-algérienne, cette dernière s’appuie sur un consortium de quatre écoles françaises : l’ESCP-EAP de Paris, Euromed Marseille, HEC et l’université de Lille-II. Son diplôme phare, le master en gestion, accueille chaque année un nombre plus important d’étudiants, avec 70 inscrits pour l’année universitaire 2007-2008, contre 50 en 2005. « Nos méthodes pédagogiques utilisent tous les moyens modernes permettant de se sentir parfaitement à l’aise au sein des entreprises pour affronter l’ouverture internationale », commente Bruno Ponson, directeur général de l’Esaa. Sur le même modèle, une école de médecine et un Institut supérieur des technologies sont à l’étude.
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