Contre le « monopole » égyptien
Après le Qatar et le Yémen, l’Algérie a officiellement demandé, lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères arabes, au Caire, début mars, la fin de la confiscation par l’Égypte du poste de secrétaire général de la Ligue arabe. Depuis sa création, en 1945, l’organisation a en effet toujours été dirigée par des représentants de ce pays, sauf pendant la période (1979-1990) au cours de laquelle le siège fut transféré à Tunis et le secrétariat général confié au Tunisien Chedli Klibi. Alger souhaite que la fonction soit assurée à tour de rôle par chacun des vingt et un pays membres et demande que les treize postes de secrétaire général adjoint soient confiés à un nombre plus important de pays. Le sujet sera à l’ordre du jour du prochain sommet des chefs d’État, à Tunis, les 27 et 28 mars.
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