Pellegrini dément
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Alors que Michèle Alliot-Marie, la ministre française de la Défense, s’est rendue à Beyrouth à la veille du nouvel an pour y passer trois jours en compagnie du contingent français de la Finul (Force intérimaire des Nations unies au Liban), une rumeur fait son chemin dans certains organes de presse libanais : le général français Alain Pellegrini, qui commande depuis deux ans la force onusienne, abandonnerait prématurément son poste au profit d’un Italien. Pellegrini vient de démentir cette fausse information : il est prévu depuis longtemps qu’il quitte ses fonctions à la mi-février afin que l’Italie, qui fournit elle aussi un contingent important à la Finul, en prenne le commandement. Le général réfute également tout dissentiment entre lui-même et le département chargé des opérations de maintien de la paix (dirigé, à New York, par son compatriote Jean-Marie Guéhenno), de même qu’avec sa hiérarchie militaire. La Finul était, à la fin du mois de décembre, forte de 11 026 hommes, dont 9 127 soldats, 152 officiers et 1 747 membres ?de la force navale, assistés par 53 observateurs, et 407 personnels civils. Cet effectif provenait de vingt-quatre pays.
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