Le traité d’amitié, quand même

Publié le 7 novembre 2005 Lecture : 0 minute.

Loin du tumulte provoqué par l’adoption par le Parlement français, le 23 février, d’une loi vantant les vertus civilisatrices de la colonisation, les experts algériens et français continuent de travailler à la rédaction du traité d’amitié entre les deux pays voulu par les présidents Abdelaziz Bouteflika et Jacques Chirac. Mais la date initialement prévue pour la signature du traité – avant le 31 décembre 2005 – ne semble plus d’actualité. Des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent en effet en Algérie pour exiger au préalable de la France un acte de repentance pour son passé colonial.

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