Cette semaine dans Jeune Afrique

La crise que traverse Ecobank depuis près de sept mois toucherait-elle à sa fin ? L’assemblée générale extraordinaire, convoquée le 3 mars prochain à Lomé, devrait permettre d’y répondre. Dans son édition du 9 au 15 février 2014, « Jeune Afrique » dévoile les coulisses de l’intense bataille qui a mené à cette convocation.

Le siège de la banque panafricaine Ecobank est situé à Lomé au Togo. © Michel Aveline pour JA

Le siège de la banque panafricaine Ecobank est situé à Lomé au Togo. © Michel Aveline pour JA

Publié le 10 février 2014 Lecture : 2 minutes.

Le conseil d’administration d’Ecobank s’est réuni une dizaine de fois en sept mois, à la cadence folle d’une réunion tous les quinze jours (contre une tous les deux mois auparavant) depuis juillet 2013 et l’éclatement de la crise de gouvernance dont le groupe panafricain a encore du mal à se guérir. L’assemblée générale extraordinaire convoquée le 3 mars prochain au siège d’Ecobank, à Lomé, devrait être l’occasion de trancher. Dans son édition n°2770 du 9 au 15 février 2014, Jeune Afrique présente son enquête sur les longs mois qui ont mené à cette convocation et apporte des réponses aux nombreuses interrogations que cette crise a soulevées. Qui veut la tête de Thierry Tanoh ? Peuvent-ils l’obtenir ? Que peut-on attendre de cette assemblée générale extraordinaire ? Quelles sont les évolutions possibles dans la répartition du capital d’Ecobank ?

En section Entreprises & marchés, Jeune Afrique s’intéresse au développement du nord de la Côte d’Ivoire. Pour redynamiser cette région sinistrée par une décennie de crise, l’État ivoirien (suivi par le secteur privé) mise sur l’agro-industrie, notamment la culture du coton, de l’anacarde et du riz. Le magazine revient également sur le secteur pétrolier gabonais. La volonté du Gabon de relancer la production de pétrole avec l’attribution de 14 blocs offshore est confrontée à la timidité des acteurs du secteur qui restent prudents en attendant la refonte du code pétrolier.

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Parmi les Indiscrets de la semaine, le magazine expose la compétition à l’œuvre dans le cadre de l’appel d’offres portant sur le choix du futur opérateur du port de Brazzaville. L’hebdomadaire dévoile également l’envers des annonces fracassantes faites au sujet du gisement aurifère de Yaouré en Côte d’Ivoire – et les étapes restant encore à franchir avant la mise en exploitation du site.

Dans les pages Décideurs, Jeune Afrique présente une interview de Bruno Wenn, le PDG de la société allemande d’investissement et de développement (DEG). Le groupe allemand investit 1,5 milliard d’euros par an, dont 326 millions d’euros en Afrique durant l’année écoulée.

En section Finance, le magazine s’intéresse à la recomposition en cours de l’actionnariat du sucrier marocain Cosumar. Qui est derrière l’offre publique d’achat (OPA) lancée le 24 janvier pour la prise de contrôle de 91% de l’entreprise marocaine ? Quelles sont leurs ambitions ? Quel impact aura-t-elle sur la stratégie de développement du sucrier ? Autant de questions auxquels Jeune Afrique apporte des réponses.

Enfin, Jeune Afrique consacre un Dossier au secteur des assurances qui se développe encore lentement en Afrique subsaharienne. Le magazine s’intéresse particulièrement à l’essor des services d’assurance proposés par des compagnies privées locales ou internationales aux entreprises et particuliers africains.

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Sommaire

Ecobank – Hold-up à Lomé

Entreprises & marchés
Côte d’Ivoire – Prenez-en de la graine
Gabon – Plongée dans l’inconnu

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Indiscrets

Décideurs
Interview
– Bruno Wenn, PDG de DEG

Finance
Maroc – OPA sans fracas

Dossier Assurances

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