Série 5 L’affirmation de valeurs sûres
Publié le 7 juillet 2003 Lecture : 1 minute.
Sans rompre avec le modèle précédent, la nouvelle Série 5 de BMW témoigne d’une forte évolution, tant sur le plan de l’esthétique que sur celui des équipements.
Les lignes de la voiture, tendues, correspondent bien à sa vocation de berline sportive. Vocation rendue possible par l’utilisation de l’aluminium pour la fabrication de la caisse, et la puissance de ses moteurs, encore accrue : nous avons pu essayer les deux nouveaux trois litres, à essence et Diesel. Associés à un comportement routier impeccable et à une boîte aux six rapports bien étagés, ils sont plus qu’à la hauteur !
Si le dessin de la nouvelle Série 5 est moins révolutionnaire que celui de la Série 7, le nouveau modèle a adopté un système i-drive (commandes et réglages électroniques) moins compliqué que celui de sa grande sur. On peut, par exemple, choisir son programme radio,
régler la climatisation ou utiliser le système de navigation sans formation spéciale.
La Série 5 bénéficie surtout (en option) de deux nouveautés étonnantes. D’une part, une direction à démultiplication variable : à petite vitesse, la rotation des roues est plus forte pour une même rotation du volant. Utile pour les manuvres en ville (créneaux). D’autre part, une signalisation « tête haute » : comme dans les avions de chasse, les indications utiles au pilote apparaissent à quelques mètres devant la voiture, lui permettant de les visualiser sans quitter la route des yeux. La configuration de ce système, permettant de choisir les indications à afficher, reste malheureusement un peu compliquée : les ingénieurs de BMW auraientils du mal à se mettre au niveau de leurs
clients ?
