Burkina Faso : comment Kaboré, sous pression, gère la crise
Après l’attaque survenue à Inata le 14 novembre, le président burkinabè est déterminé à protéger son mandat, malgré la colère de l’opposition et de la rue.
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Roch Marc Christian Kaboré, le 11 novembre à Paris. © Gonzalo Fuentes/REUTERS
Le 23 novembre, jour-même de l’inhumation de trente-sept des cinquante-trois soldats tombés dans l’attaque de leur poste de gendarmerie près de la frontière malienne, Roch Marc Christian Kaboré devait recevoir les chefs coutumiers du pays, mais cette réunion a été annulée à la dernière minute. Il suit personnellement l’évolution de la situation en se tenant informé au quotidien auprès de son ministre de la Défense, le général Aimé Barthélémy Simporé et du patron des renseignements, le colonel-major François Ouédraogo.
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