Carrefour ouest-africain

Publié le 7 mai 2007 Lecture : 1 minute.

La capitale burkinabè fait partie des cinq premières villes de la sous-région qui accueillent le plus grand nombre de rencontres et de conférences. Une place qu’elle doit à la qualité de ses infrastructures hôtelières et de ses équipements (salles de réunion et de congrès, business centers, musées, etc.). Mais aussi à l’existence de la zone de haut standing, située à Ouaga 2000 (à 10 km du centre-ville), qui concentre les équipements les plus modernes de la capitale. Autre atout majeur : la tenue de grandes manifestations comme le Salon international de l’artisanat (Siao) et le fameux Fespaco (Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou), qui font la renommée de la ville depuis plus de quarante ans. Sans cesse à la recherche de nouvelles sources de revenus, le Burkina mise de plus en plus sur le tourisme de congrès, qui, allié au tourisme culturel, a toutes les chances de se développer. En la matière, Ouaga a déjà fait ses preuves. On ne compte plus, en effet, le nombre de festivals et salons qui réunissent chaque année des milliers de visiteurs. La capitale peut donc parier sur les besoins de la sous-région. Elle en a les moyens.

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