Cette semaine dans Jeune Afrique

Soeurs et ennemies. Elles s’appellent Royal Air Maroc, South African Airways ou Ethiopian Arlines, et se partagent le ciel africain avec les majors occidentales. Dans son édition n° 2769 du 2 février au 8 février 2014, « Jeune Afrique » analyse la compétition qui fait rage sur le marché aérien en Afrique.

Les compagnies aériennes locales et internationales se livrent une rude concurrence pour le contrôle du ciel africain. © Imago/Studiox

Les compagnies aériennes locales et internationales se livrent une rude concurrence pour le contrôle du ciel africain. © Imago/Studiox

Publié le 3 février 2014 Lecture : 2 minutes.

Alors que les transporteurs africains, qui ne représentent que 28% du marché des vols intercontinentaux, dénoncent la concurrence européenne et internationale, ils ne perdent pas pour autant une occasion de se mettre des bâtons dans les roues. En effet, qu’il s’agisse de la bataille entre South African Airways, Egyptair et Ethiopian Airlines ou de la guerre larvée entre Kenyan Airways et Ethiopian Airlines, les compagnies africaines se livrent une concurrence féroce pour le contrôle du marché africain. Des alliances sont-elles possibles ? L’Afrique peut-elle enfin espérer la naissance d’un champion continental ? Dans son édition n°2769 du 2 février au 8 février 2014, Jeune Afrique revient sur ce marché où semble primer la règle du chacun pour soi.

En section Entreprises & marchés, Jeune Afrique s’intéresse à l’amnistie fiscale promise par le Maroc à ses citoyens détenant illégalement des avoirs à l’étranger. Le magazine revient aussi sur le lancement de la chaine africaine du groupe de média Euronews, Africanews, dont le siège est basé à Brazzaville. Enfin, dans le secteur des télécoms, Jeune Afrique traite des différends actionnariaux qui retardent lale début des activités de l’opérateur vietnamien Viettel au Cameroun.

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Parmi les Indiscrets de la semaine, le magazine dévoile les rumeurs qui enflent sur une possible sortie du fonds d’investissement Actis du capital du fleuron de la mode africaine Vlisco. L’hebdomadaire revient également sur les difficultés rencontrées par la construction du train interurbain d’Abidjan.

Dans les pages Décideurs, Jeune Afrique dresse un portrait du nouveau ministre de l’Économie et des Finances tunisien, Hakim Ben Hammouda. Conseiller spécial du président de la Banque africaine de développement, Donald Kaberuka, depuis 2001, ce familier des institutions internationales se voit incomber la délicate mission de rassurer les bailleurs de fonds internationaux.

En section Finance, le magazine fait un point sur l’avancée de l’ambitieux projet lancé en 2008 au Maroc : Casablanca Finance City (CFC). CFC, qui ambitionne de faire du Maroc un hub financier pour les flux internationaux en direction de l’Afrique et concurencer Dubaï et Maurice, a pris du retard. Jeune Afrique revient sur les points de blocage.

Sommaire

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Transport aérien – Chacun pour soi

Entreprises & marchés
Maroc – Que les exilés fiscaux lèvent le doigt
Médias – Pourquoi Euronews a choisi Brazzaville
Cameroun – Communications brouillées chez Viettel

Indiscrets

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Décideurs
Tunisie – Hakim Ben Hammouda, directeur de confiance

Finance
Casablanca Finance City – Là où ça coince

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