Quand la Francophonie prend langue avec les forces vives de l’économie
Voilà vingt-cinq ans que l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) veut se lancer sur le terrain de la coopération économique. Une stratégie a vu le jour l’an dernier afin de répondre aux besoins identifiés par les pays membres.
Elle aurait pu tenir la vedette au côté du numérique lors du 18e sommet de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), censé se tenir à Djerba les 20 et 21 novembre. L’annulation confirmée du rendez-vous tunisien en a décidé autrement et ce n’est donc pas cette fois encore que l’organisation francophone prendra ouvertement et officiellement le virage de l’économie, pourtant tant souhaité par certains de ses responsables.
À commencer par la secrétaire-générale, Louise Mushikiwabo qui, plus de deux ans après sa prise de fonction, n’a toujours pas pu remettre son rapport de mi-mandat et n’a donc toujours pas eu l’occasion d’imprimer vraiment sa marque de fabrique à la tête de l’institution. Covid oblige.
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