Quand la Francophonie prend langue avec les forces vives de l’économie

Voilà vingt-cinq ans que l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) veut se lancer sur le terrain de la coopération économique. Une stratégie a vu le jour l’an dernier afin de répondre aux besoins identifiés par les pays membres.

Affiches annonçant le XVe sommet de la Francophonie à Dakar, les 29 et 30 novembre 2014. © Sylvain Cherkaoui pour JA

Affiches annonçant le XVe sommet de la Francophonie à Dakar, les 29 et 30 novembre 2014. © Sylvain Cherkaoui pour JA

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Publié le 15 décembre 2021 Lecture : 5 minutes.

Elle aurait pu tenir la vedette au côté du numérique lors du 18sommet de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), censé se tenir à Djerba les 20 et 21 novembre. L’annulation confirmée du rendez-vous tunisien en a décidé autrement et ce n’est donc pas cette fois encore que l’organisation francophone prendra ouvertement et officiellement le virage de l’économie, pourtant tant souhaité par certains de ses responsables.

À commencer par la secrétaire-générale, Louise Mushikiwabo qui, plus de deux ans après sa prise de fonction, n’a toujours pas pu remettre son rapport de mi-mandat et n’a donc toujours pas eu l’occasion d’imprimer vraiment sa marque de fabrique à la tête de l’institution. Covid oblige.

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