Réticences japonaises
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Vivement sollicité par l’administration américaine pour participer au programme de reconstruction de l’Irak (Bush se rendra en visite officielle à Tokyo le 17 octobre), le Japon met en avant ses difficultés économiques pour tenter de limiter sa contribution. Alors que le montant de l’enveloppe globale est encore flou (il oscille, selon les estimations, entre 56 milliards et 97 milliards de dollars), Tokyo ne semble pas disposé à mettre plus de 5 milliards sur la table. Le coût du déploiement d’un petit contingent japonais en Irak est déjà estimé à 3 milliards de dollars. Verdict à Madrid, le 22 octobre, lors de la conférence internationale pour la reconstruction de l’Irak, dont le maître d’oeuvre est le PNUD.
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