Droit de réponse

Publié le 7 août 2007 Lecture : 1 minute.

Dans l’article « Le temps des promesses » (J.A. n° 2429), vous omettez d’indiquer que Me Abbou, qui vient de bénéficier d’une mesure de grâce, avait été condamné suite à une plainte déposée à son encontre par l’une de ses consoeurs pour violences caractérisées suivies d’une incapacité permanente attestée par un médecin légiste. Il avait été établi que Me Abbou avait roué sa consoeur de coups, devant plusieurs témoins dont de nombreux autres avocats. Cette agression avait nécessité l’hospitalisation de la victime. Dans une seconde affaire, Me Abbou avait été reconnu coupable de diffusion de fausses nouvelles et de diffamation des autorités judiciaires. Il convient de souligner, par ailleurs, que le choix de la démocratie et des droits de l’homme en Tunisie, depuis le changement du 7 novembre 1987, est une réalité constante et palpable, ce qu’illustrent les multiples réformes successives initiées par le président Zine el-Abidine Ben Ali, et qui ont permis d’asseoir les bases de l’État de droit et du pluralisme politique.

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