Branle-bas de combat chez BGFIBank
Le Gabonais Henri-Claude Oyima compte remettre la banque panafricaine en ordre de bataille en 2022, année pivot pour le groupe, qui a fêté ses 50 ans l’année dernière et dont le PDG veut faire un futur centenaire.
Trois ans à peine après avoir enclenché un vaste chantier de réforme de la gouvernance de BGFIBank, après des déboires qui ont entaché son image, son PDG vient de monter d’un cran le dispositif. L’objectif ? Montrer que le groupe bancaire privé né à Libreville en 1971, et qui s’étend au travers de douze implantations aujourd’hui, est une institution résiliente, solide et vertueuse, « dédiée au financement des économies africaines », martèle Henri-Claude Oyima. Plus de contrôle, plus de surveillance, davantage de conformité… Et surtout, cap sur la performance en 2022.
Plan d’attaque pour 2022
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte-t-il si cher ?
- Côte d’Ivoire : pour booster ses réseaux de transports, Abidjan a un plan
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan