Une si brutale absence

Publié le 5 mai 2008 Lecture : 1 minute.

La nouvelle stupéfiante du décès de notre compagnon Elimane Fall m’atteint comme un choc terrifiant après mes deux entretiens très détendus et très personnels avec lui le 17 avril au soir à propos de la disparition d’Aimé Césaire. L’ayant rappelé vendredi 18 au matin, j’apprenais son absence pour un bref congé maladie.
Sa mort – si brutale – est une très grande perte pour sa famille, ses amis et sa profession. Il était en vérité un modèle d’engagement dans son travail, pour son pays et pour l’Afrique.
Je vous dis mes condoléances sincères et ma profonde solidarité avec tous ceux qu’il laisse orphelins de son exceptionnelle qualité d’homme de coeur et de vérité.

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