Talentueux et militant
C’est avec une très grande émotion et une profonde tristesse que j’ai appris, ce vendredi 25 avril, le décès d’Elimane Fall, un de vos collaborateurs les plus fidèles et les plus dévoués. Avec sa disparition, votre journal perd un grand professionnel, une très belle plume, et un grand connaisseur de l’Afrique, son continent.
Ayant eu l’occasion, à plusieurs reprises, de le rencontrer, d’abord en tant que chef de l’État du Sénégal puis en tant que secrétaire général de la Francophonie, je connaissais son talent d’analyse de la politique africaine, mais j’ai également découvert son militantisme pour la Francophonie, à laquelle il se disait personnellement attaché. Aujourd’hui, je joins ma voix à celle de tous les lecteurs de Jeune Afrique qui, de par le monde, ressentent une grande douleur avec cette disparition.
Au nom de l’Organisation internationale de la Francophonie et en mon nom propre, je tenais à m’adresser mes plus sincères condoléances à sa famille, à ses proches ainsi qu’à toute la rédaction de Jeune Afrique.
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