Mali : IBK, président lettré, président contesté, président renversé
Il y a un an jour pour jour, le 16 janvier 2022, Ibrahim Boubacar Keïta décédait à son domicile. L’ancien chef de l’État avait été contraint à la démission un an et demi plus tôt.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/08/19/2020-08-18t101125z_557796262_rc2agi94o66j_rtrmadp_3_mali-security-1-scaled-1256x628-1673861303.jpg)
Ibrahim Boubacar Keïta au sommet du G5 Sahel, le 30 juin 2020, en Mauritanie. © Ludovic Marin / Reuters
[Nous republions cet article, initialement écrit le 16 janvier 2022, à l’occasion du premier anniversaire de la mort d’Ibrahim Boubacar Keïta.]
C’est dans la villa qu’il avait héritée de son père qu’il s’est éteint, ce dimanche 16 janvier en début de matinée, à l’âge de 76 ans. Une villa construite au cœur du quartier de Sébénikoro, à Bamako, réputée pour porter malheur à la fortune de ses
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Les fidèles d’Abdourahamane Tiani, le général à l’épreuve du pouvoir nigérien
- Dans le viseur de la justice de la RDC, Nicolas Kazadi s’envole pour Paris
- Élections législatives françaises : en Afrique, la gauche sort vainqueur du premier tour
- Comment réveiller le Gabon ?
- Léna Tall Faye, la Sénégalaise qui s’est construit un empire dans l’assainissement