France-Algérie : l’école des patrons

Publié le 4 décembre 2006 Lecture : 1 minute.

C’est dans une ambiance simple et chaleureuse que les vingt-cinq étudiants de la première promotion de l’École supérieure algérienne des affaires (Esaa) ont reçu, le 23 novembre, dans les locaux de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris (CCIP), leurs diplômes en MBA Exécutif (Master Business Administration). Entourés de membres de leurs familles et de leurs amis, ils ont sagement écouté les félicitations et les encouragements que leur ont été adressés Jean-Paul Vermes, le vice-président de la CCIP, et Brahim Bendjaber, le président de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie. « Nous sommes des pionniers », pavoisait l’un d’eux, diplôme à la main.

Créée en 2004 à Alger dans le cadre de la coopération franco-algérienne, l’Esaa s’appuie sur un consortium pédagogique constitué de quatre écoles : ESCP-EAP, Euromed Marseille, HEC et l’université de Lille-II. Elle a accueilli ses premiers étudiants en janvier 2005. D’une durée de dix-huit mois, le MBA Exécutif s’adresse essentiellement aux dirigeants et cadres supérieurs d’entreprises publiques et privées.
« Les programmes du MBA sont à la pointe des techniques de management, et ses méthodes pédagogiques utilisent tous les moyens modernes permettant de se sentir à l’aise au sein des entreprises pour affronter l’ouverture internationale », commente Bruno Ponson, directeur général de l’Esaa.
La deuxième promotion a intégré l’établissement lors de la dernière rentrée universitaire. Elle compte une bonne soixantaine d’étudiants.

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