Grogne des enseignants
Malgré les fortes augmentations salariales consenties par le gouvernement, le front social est passablement agité. C’est dans l’éducation que les turbulences sont les plus fortes, en raison du refus réitéré des autorités d’accorder leur agrément aux syndicats autonomes. Bien que la Constitution consacre la liberté syndicale, seule l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) est en effet officiellement reconnue. Pour sortir de la crise, le Premier ministre Abdelaziz Belkhadem a demandé à ses services de procéder à une enquête. Les syndicats dont la représentativité sera établie seront rapidement légalisés.
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