Et voici… la Foxwagen
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Avec la Fox, le mot d’ordre est à l’économie. Et Volkswagen de faire remarquer que c’est sa première offre aussi bon marché, moins de 9 000 euros pour l’entrée de gamme (avec un moteur à essence de 1,2 litre développant 55 chevaux) ; pour les plus exigeants, il y a aussi un moteur à essence de 1,4 l. (75 ch.), qui fait monter le prix à 9 740 euros, et un diesel de 1,4 l. (70 ch.), nettement plus cher (11 040 euros) : difficile de rester dans le bon marché, même en faisant fabriquer la voiture au Brésil (les moteurs à São Paulo et l’assemblage à Curitiba). L’économie est aussi au niveau de l’entretien, avec des intervalles entre révisions et vidanges qui tiennent compte des conditions réelles d’utilisation, pouvant atteindre 30 000 km ou deux ans.
Ce souci d’économie ne signifie pas pour autant des équipements au rabais : à cet égard, la Fox est bien équipée. Certes, le moteur de 1,2 litre ne permet pas des performances grandioses, mais le comportement de la voiture permet d’en tirer un bon parti. La Fox est, de toute façon, destinée à la ville, même si sa vitesse de pointe est suffisante pour encourir des PV sur route !
En fait, le point fort de cette trois-portes quatre places, c’est sa modularité, qui en fait une petite voiture pratique pour des transports sinon volumineux du moins variés. La banquette arrière peut coulisser, augmentant le volume du coffre de plus d’un tiers, ou se rabattre par moitié ou totalement, offrant alors un volume de chargement de plus de 1 m3 (1 016 litres). Rare sur une voiture de cette catégorie.
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