Pourquoi les noirs restent à la traîne

Publié le 4 février 2008 Lecture : 0 minute.

« La diversité, ce n’est pas que les Algériens, elle concerne toutes les communautés ! » lance Abderrahmane Dahmane, conseiller technique à l’Élysée. Il est certain que les candidats aux municipales originaires d’Afrique subsaharienne sont sensiblement moins nombreux que leurs « collègues » d’origine maghrébine. Selon le Cran, ils ne représentent qu’à peine 20 % des têtes de listes issues de la diversité investies par le PS et l’UMP. « Le poids des Français d’origine nord-africaine est sociologiquement plus important et leurs organisations représentatives bien plus anciennes », commente le chercheur Vincent Tiberj.

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