Algérie : fin de partie pour la Fatia
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Le projet de voiture construite sur le sol algérien n’a pas survécu au retrait en 1998 de la Fatia, Fabrication automobile de Tiaret, société d’économie mixte dont Fiat possédait 30 % des parts. Il n’en restait qu’une vaste usine vide, bâtie sur un terrain de 45 hectares à deux kilomètres de l’aéroport de Tiaret. Le gouvernement a tenté de trouver des alternatives : assemblage de camions Renault ou de 4×4 coréens pour l’armée. Aucune n’a abouti. Mi-août, la Fatia a été mise en liquidation judiciaire.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise