Ni à Bagdad ni à Kaboul
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En déclarant, le 26 avril, que la Turquie et d’autres membres de l’organisation qui ne font pas partie de la Coalition en Irak pourraient envoyer des troupes supplémentaires en Afghanistan, Nicholas Burns, l’ambassadeur des État-Unis à l’Otan, a lancé un ballon d’essai. Sans succès à Ankara, qui avait déjà fait la sourde oreille à propos de l’Irak, dans les semaines précédentes. « Nous n’avons pas prévu de déployer des troupes supplémentaires en Afghanistan et n’avons reçu aucune demande en ce sens de la part des États-Unis ou de l’Otan », confient des sources proches du gouvernement. Près de 240 soldats turcs se trouvent actuellement en Afghanistan, ainsi qu’une délégation de neuf personnes chargées de diriger les travaux de reconstruction de l’aéroport de Kaboul.
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