Aznar persiste et signe

Publié le 4 mai 2004 Lecture : 1 minute.

Dans une tribune publiée par le Wall Street Journal, l’ancien président du gouvernement espagnol juge la nouvelle politique étrangère de son pays. En voici quelques extraits.

Si l’Espagne est affaiblie par le retour de nos troupes d’Irak, le terrorisme, lui, est renforcé. Le gouvernement Zapatero a choisi la voie de l’apaisement, dont l’Histoire montre que c’est la pire manière de faire face aux menaces. L’apaisement ne protège pas du danger : bien au contraire, il l’aggrave. […]
Je crois que l’Espagne doit montrer plus de solidarité avec les pays qui défendent le mieux la liberté dans le monde, et avec ceux qui aspirent, après des années vécues sous le joug de la dictature, à retrouver leurs libertés individuelles. Je crois que l’Espagne doit adopter une politique étrangère ancrée dans la défense de nos valeurs essentielles, contrairement à celle du gouvernement actuel. Je crois aussi que notre politique étrangère doit refléter la réalité qui nous fait face : celle d’une guerre internationale contre le terrorisme. Ce n’est pas en détournant les yeux et en fuyant la réalité que nous ferons disparaître cette terreur.

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