João Lourenço a-t-il rendu l’Angola plus « business friendly » ?
En arrivant au pouvoir en 2017, le chef de l’État a promis de moderniser l’économie angolaise en laissant toute sa place au secteur privé. Le contrat n’est que partiellement rempli.
« L’État veut se séparer de nombreux actifs et il faut que l’espace libéré soit occupé par le secteur privé. » C’est avec cette déclaration, prononcée début janvier lors d’une interview aux médias angolais, que le président João Lourenço a commencé 2022. Si elle peut sembler anodine, il n’en est rien alors que la puissance publique et son bras armée, la compagnie nationale de pétrole Sonangol,
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