João Lourenço a-t-il rendu l’Angola plus « business friendly » ?
En arrivant au pouvoir en 2017, le chef de l’État a promis de moderniser l’économie angolaise en laissant toute sa place au secteur privé. Le contrat n’est que partiellement rempli.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/02/25/jad20220225-eco-angola-lourenco-01-1256x628-1647767464.jpg)
Le président angolais João Lourenço lors d’un discours au deuxième jour de la COP26 sur le climat, à Glasgow, le 2 novembre 2021. © ADRIAN DENNIS/POOL/AFP.
« L’État veut se séparer de nombreux actifs et il faut que l’espace libéré soit occupé par le secteur privé. » C’est avec cette déclaration, prononcée début janvier lors d’une interview aux médias angolais, que le président João Lourenço a commencé 2022. Si elle peut sembler anodine, il n’en est rien alors que la puissance publique et son bras armée, la compagnie nationale de pétrole Sonangol,
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »