Retard dans la filière phosphate
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Onze mois après sa création, la Société nouvelle des phosphates du Togo (SNPT) n’a toujours pas démarré ses activités. Les ambitions de la direction étaient pourtant claires : de 800 000 tonnes en 2007, la production de phosphate brut devait doubler en 2008 pour atteindre 3 millions en 2010. La Banque islamique de développement (BID) et la Banque d’investissement et de développement de la Cedeao (BIDC) lui ont déjà respectivement alloué 30 et 10 millions de dollars pour l’acquisition, notamment, de nouveaux matériels. Selon Charles Takou-Ayaoh, directeur général de la SNPT, le lancement effectif de la société interviendra début avril, après la remise du rapport des liquidateurs de l’International Fertilizers Group IFG-Togo, dissous pour céder la place à la SNPT, entièrement détenue par l’État togolais.
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