Bongo et la Coface
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Il y a quelques semaines, la décision que la Coface (service d’assurance pour les entreprises françaises) a prise de rétrograder le Gabon de la catégorie B à la catégorie C en ce qui concerne les risques-pays a désagréablement surpris Omar Bongo. Le chef de l’État comprend d’autant moins ce déclassement qu’il vient de demander au gouvernement de prendre des mesures applicables dès mars ou avril en vue d’accélérer le règlement de la dette intérieure, laquelle concerne au premier chef les entreprises françaises installées au Gabon (nombre d’entre elles ont du mal à payer leurs fournisseurs).
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