RDC – Mines : une relance de la Sokimo est-elle possible ?
La société d’État dans le secteur aurifère fait régulièrement l’objet des critiques pour notamment son manque de transparence. Mais ses dirigeants veulent croire que le défi est possible à relever.
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Un mineur regarde la mine à ciel ouvert de Kibali, opérée par Randgold Resources Ltd, en RD Congo, le 17 octobre 2014. © Simon Dawson/Bloomberg/Getty.
« Nous nous relançons aujourd’hui. » Ces mots viennent d’Augustin Mpela, l’ingénieur à la tête de la Société minière de Kilo-Moto SA (Sokimo), l’opérateur public du secteur aurifère en RD Congo. « Nous avons une petite unité de traitement à Nizi (nord-est), capable de produire dix kilos d’or par mois, et nous projetons d’installer une plus grande usine, d’une capacité de 60 kilos par mois, avant
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