Dassault-Bouygues : un mariage mort-né

Publié le 2 août 2004 Lecture : 1 minute.

Ouf ! Quelques jours après avoir pris le contrôle de la Socpresse, Serge Dassault a fait un appel du pied en direction du géant français du bâtiment, Martin Bouygues, et de son bébé télévisuel, TF1. L’idée ? Faire entrer les deux dans le capital de la Socpresse, à hauteur de 10 % (5 % pour Bouygues et 5 % pour TF1). Las, les fiançailles ont fait long feu, achoppant sur la question des droits de préemption, qui aurait pu permettre à Bouygues d’obtenir rapidement une minorité de blocage et, peut-être, sur la faible rentabilité de la Socpresse. Les tenants du pluralisme ont eu peur : le mariage aurait donné naissance à un mastodonte proche de la droite dominant l’information et le marché publicitaire !

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