Banques : après le Maroc, l’Algérie sur la piste subsaharienne
Trois filiales de banques algériennes sont annoncées au Sénégal, au Niger et en Mauritanie. Une offensive modeste selon les professionnels d’un secteur où les établissements marocains ont pris de l’avance. Décryptage.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/03/17/jad20220317-eco-algerie-banques-3-1256x628-1647515832.jpg)
Des dinars algériens, en novembre 2016. © Ramzi Boudina/REUTERS
C’était un vœu du président algérien, exprimé lors du sommet de l’Union africaine de février 2020 : insuffler une dynamique dans la coopération internationale de l’Algérie, en particulier avec les pays africains et le Sahel. Ce vœu a abouti quelques semaines plus tard à la création de l’Agence algérienne de coopération internationale dont la mission est de participer à l’élaboration et à la mise
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Les fidèles d’Abdourahamane Tiani, le général à l’épreuve du pouvoir nigérien
- Dans le viseur de la justice de la RDC, Nicolas Kazadi s’envole pour Paris
- Élections législatives françaises : en Afrique, la gauche sort vainqueur du premier tour
- Comment réveiller le Gabon ?
- Léna Tall Faye, la Sénégalaise qui s’est construit un empire dans l’assainissement