… devient hebdomadaire

À partir de cette semaine, à cette place, vous trouverez régulièrement dans Jeune Afrique/l’intelligent un cahier de 12 à 16 pages, sur «papier saumon». Consacré à l’actualité économique et financière (de l’Afrique et du monde), il vous informera mieux et

Publié le 3 novembre 2004 Lecture : 2 minutes.

Ce nouvel hebdo dans l’hebdo vous sera offert en complément du contenu habituel de Jeune Afrique/l’intelligent. Il possède sa propre équipe de journalistes économiques, qui s’élargira en 2005 à de nouveaux talents.
L’économie ne disparaîtra pas pour autant des autres sections de Jeune Afrique/l’intelligent, et nous continuerons de publier, sous forme de hors-séries de l’hebdomadaire :
– les 500 premières entreprises africaines ;
– les 200 premières banques africaines (élargi à l’ensemble du secteur financier africain).
Deux autres hors-séries consacrés à des thèmes importants susceptibles de compléter votre information économique viendront s’ajouter aux « 500 » et aux « 200 ».
En revanche, nous annonçons avec regret que les lecteurs de notre mensuel Ecofinance ne trouveront pas chez leur marchand de journaux le numéro de novembre 2004(*) : nous avons en effet décidé de suspendre la publication de ce mensuel qui peinait à trouver son équilibre financier.

Comme vous pouvez le constater, nous allons suivre et traiter l’économie, la finance et la vie des affaires selon une forme et un rythme nouveaux : de mensuel, l’intérêt que nous leur portons devient hebdomadaire et, par voie de conséquence, notre « couverture » de l’actualité économique, de la vie du monde des affaires sera plus précise, plus pointue.
Alors que le mensuel analyse et commente, l’hebdomadaire informe – et explique : c’est ce que nous ferons chaque semaine dans ces pages destinées à tous ceux qui s’intéressent à la vie économique, au monde des affaires et à ses coulisses, qui en comprennent les mécanismes et savent que presque tout, dans notre vie et celle de nos pays, dépend de l’économie : une économie performante est aussi vitale pour un pays qu’un corps sain pour un homme ou une femme.

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De même que les hommes se répartissent entre ceux qui sont en bonne santé et ceux dont le corps souffre d’une ou de plusieurs maladies, les pays se divisent en deux catégories principales.
Ceux qui sont économiquement bien gérés et qui, même sans ressources naturelles, s’en tirent.
Et ceux dont l’économie n’est pas gérée, ou l’est mal : quelles que soient les ressources dont ils sont dotés, la grande majorité de leur population croupit dans l’abjecte pauvreté.

Attirer votre attention sur l’importance des facteurs économiques et la nécessité de la bonne gestion, vous informer sur les expériences économiques réussies, en Afrique et ailleurs, sera notre contribution à une meilleure gouvernance des pays qui n’ont pas eu jusqu’ici la chance d’en bénéficier.

* Les abonnés recevront de notre direction de la diffusion des propositions de substitution.

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