Trois candidats en course pour le secrétariat général de l’OIF
L’actuel secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie, Abdou Diouf, quittera ses fonctions fin novembre. La bataille pour lui succéder fait déjà rage.
![Abdou Diouf à Paris, en septembre 2012 © Véronique Besnard pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2014/04/29/027042014203712000000000_JEUNE_AFRIQUE_21456_Abdou20Diouf.jpg)
Abdou Diouf à Paris, en septembre 2012 © Véronique Besnard pour JA
L’élection aura lieu lors du sommet de Dakar, fin novembre. Il est donc temps de faire campagne.
Après le Mauricien Jean Claude de L’Estrac, deux autres candidats se sont donc officiellement lancés dans la course à la succession d’Abdou Diouf à la tête de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) : Henri Lopes, ancien Premier ministre congolais (Brazzaville) et actuel ambassadeur à Paris, et Pierre Buyoya, l’ancien président burundais aujourd’hui haut représentant de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel.
Début avril, leurs candidatures ont été officiellement adressées au siège de l’OIF, à Paris, par les présidents de leurs pays respectifs.
En coulisses, d’autres noms continuent de circuler tel celui de Dioncounda Traoré, l’ancien président malien. Reste qu’être présenté par son pays est une condition indispensable pour être retenu, ce qui exclut d’office bon nombre de candidats à la candidature.
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