Comment Évariste Ndayishimiye a sorti le Burundi de son isolement
Deux ans après l’élection du président Ndayishimiye, le pays reprend progressivement sa place sur la scène internationale, tout en apaisant ses relations avec ses voisins. Il doit désormais muscler sa diplomatie économique pour attirer des investisseurs.
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Évariste Ndayishimiye s’exprimant à l’Assemblée générale de l’ONU, à New York, le 23 septembre 2021. © Mary Altaffer/Pool via REUTERS
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Burundi : petit État, grandes ambitions
Après l’élection d’Évariste Ndayishimiye, en 2020, cet État d’Afrique de l’Est reprend progressivement sa place sur la scène internationale. Et compte désormais attirer des investisseurs, condition indispensable à la relance économique.
Deux ans, presque jour pour jour, après l’arrivée au pouvoir du président Évariste Ndayishimiye, et au moment où le Burundi s’apprête à célébrer, le 1er juillet, le 60e anniversaire de son indépendance, la triste parenthèse du troisième mandat de Pierre Nkurunziza, marquée par un isolement complet, semble bien refermée.
En novembre 2021, les États-Unis ont levé les sanctions imposées au Burundi. L’Union européenne (UE) a suivi, en février dernier, tout en précisant que le terme de « sanctions » ne convenait pas puisque les restrictions appliquées depuis 2014 étaient des « mesures appropriées au titre de l’article 96 des accords de Cotonou ».
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Burundi : petit État, grandes ambitions
Après l’élection d’Évariste Ndayishimiye, en 2020, cet État d’Afrique de l’Est reprend progressivement sa place sur la scène internationale. Et compte désormais attirer des investisseurs, condition indispensable à la relance économique.
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